Récemment, j’ai découvert sur NRJ12 un reality show (dans sa 3ème saison tout de même) qui nous vient tout droit du pays du melting, les Etats-Unis. Le concept ? Très simple. Mettre en équipes des beautés et des geeks (crétins si vous voulez). Beauty & The Geek, tel est le nom de ce reality, et ça se passe dans un manoir où 7 geeks et 7 beauties forment des binômes qui joueront à relever divers challenges avec bien sûr des nominations et des éliminations, l’équipe gagnante remportera 250000$. Né d’un croisement entre The Bachelor, Mon Incroyable Fiancé et Queer, ce reality est d’abord rigolo, stupide mais original puisqu’il confronte deux univers qu’un fossé sépare. Ainsi, de superbes filles branchées mode & Co devront chacune cohabiter avec un geek surdoué, as du score universitaire et fan de Star Wars, ou pire, de Star Trek, bref un parfait crétin selon les normes en vigueur. Chaque beauty devra coacher son geek, fondamentalement antisocial, lui donner de l’assurance, le briefer sur la mode, les sorties, les peoples et contribuer à son relooking (un vrai chantier chez Vidal Sassoon et les boutiques de fringues) pour qu’il devienne un as du score féminin. Autant vous dire que la beauty à du boulot. Elle devra ainsi apprendre ainsi a son geek comment écouter filles, comment draguer, ce qu’il faut savoir pour être branché, comment c’est trop naze de rire comme un déglingué et de s’habiller comme un bouffon. Faire de lui un être sociable, une arme sexuelle et un aimant à gonzesse, tel est le challenge de la beauty. The Geek lui devra d’abord s’habituer à la présence troublante de la Beauty dans sa vie et dans sa chambre, haut lieu de sa crétinitude, et devra faire confiance à sa partenaire pour gagner des défis intellectuels ce qui lui procure sueurs froides et crises de colères. Là où c’est encore plus marrant, c’est le défis que ce lancent les filles entre elles, et c’est qui réussira à faire de son "geekobaye" la créature la plus cool et la plus sexy de l'émission. Beauty & The Geek, à découvrir d’urgence rien que pour rire crétin.
Beaucoup plus intelligent à découvrir, un excellent film, Gray Matters, une savoureuse comédie. C’est l’histoire de Sam (Tom Cavanagh), chirurgien, et de Gray (Heather Graham), sa sœur, publicitaire. Ils partagent un beau loft à NY et sont inséparables et très complices depuis leur jeune âge. Tellement proches que pas mal de leurs connaissances pensent qu’ils sont en couple. Ils décident alors de se reprendre en main et de chercher chacun l’âme sœur. Tellement proches qu’ils tombent amoureux de la même fille, Charlie (la sublime Bridget Moynahan, mon idéal féminin, soit dit en passant). Suit alors le coming-out de Gray et des situations drôles et cocasses. Au-delà de la comédie, ce film est une belle réflexion sur le mal-être d’une femme qui découvre son homosexualité lors d’un baiser échangé avec la future femme de son frère la veille de son mariage, sa volonté de refouler et de "combattre" son homosexualité en s'obstinant à ne rencontrer que des hommes, son amitié avec un chauffeur de taxi qui tombe amoureux d'elle. Un film touchant et servis par des comédiens et comédiennes très vrais dans leurs rôles. Et ce n’est pas un hasard, Gray Matters est inspiré de l’histoire intime de sa réalisatrice, Sue Kramer, dont la sœur est lesbienne. Un film loin des clichés, tendre et drôle, une comédie New-Yorkaise à la Woody Allen. A voir absolument.
Beaucoup plus intelligent à découvrir, un excellent film, Gray Matters, une savoureuse comédie. C’est l’histoire de Sam (Tom Cavanagh), chirurgien, et de Gray (Heather Graham), sa sœur, publicitaire. Ils partagent un beau loft à NY et sont inséparables et très complices depuis leur jeune âge. Tellement proches que pas mal de leurs connaissances pensent qu’ils sont en couple. Ils décident alors de se reprendre en main et de chercher chacun l’âme sœur. Tellement proches qu’ils tombent amoureux de la même fille, Charlie (la sublime Bridget Moynahan, mon idéal féminin, soit dit en passant). Suit alors le coming-out de Gray et des situations drôles et cocasses. Au-delà de la comédie, ce film est une belle réflexion sur le mal-être d’une femme qui découvre son homosexualité lors d’un baiser échangé avec la future femme de son frère la veille de son mariage, sa volonté de refouler et de "combattre" son homosexualité en s'obstinant à ne rencontrer que des hommes, son amitié avec un chauffeur de taxi qui tombe amoureux d'elle. Un film touchant et servis par des comédiens et comédiennes très vrais dans leurs rôles. Et ce n’est pas un hasard, Gray Matters est inspiré de l’histoire intime de sa réalisatrice, Sue Kramer, dont la sœur est lesbienne. Un film loin des clichés, tendre et drôle, une comédie New-Yorkaise à la Woody Allen. A voir absolument.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire