La semaine dernière, deux attentats ont été déjoués à Londres et un troisième a "percuté" l’aéroport de Glasgow. Tout comme le réchauffement climatique, la nébuleuse terroriste démontre qu’elle peut frapper partout et à n’importe quel moment, mais il y a fort à parier que c’est ici l’œuvre de groupuscules de barbus locaux, que la Grande Bretagne à eu le bon goût d’accueillir tant qu’ils semaient la terreur uniquement dans d’autres capitales et qui s'insurgent maintenant contre leur "patrie" d’adoption qui a la "mauvaise foi" d’anoblir Salman Rushdi. Pionnière dans l’aviation civile sans atterrissages, al qaida serait bien descendue très bas en lançant un vulgaire 4x4 conduit par un chauffeur pakistanais contre un aéroport et en foirant les deux autres coups. Mais pour encourager de telles initiatives, la nébuleuse ne tardera pas à saluer les organisateurs, qui même s’ils se classent à peine dans la catégorie amateurs du saint Djihad, ont du mettre la main à la poche, au prix où est l’essence et le gaz.
Alors que SFR casse à coup de marteau le monsieur-qui-dit-de-telle-heure-à-telle-heure, son homologue du gouvernement Koweitien continue à veiller au bien être de ces concitoyennes pour les préserver de la débauche et du mode de vie occidental, en interdisant aux femmes Koweitiennes de travailler de 20h jusqu’à 8 heures. Belle initiative qui limitera sans doute l’effet de serre sous les Burka à Koweït City, à défaut d’une décision qui interdira les idées de merde sous les turbans.
Restons dans la rubrique idées de merde pour rendre hommage au martyr "Farfour", cette espèce de clone de Mickey Mouse qui anime les enfantines sur la Tv du Hamas et dont l’esprit est loin de l’univers de Walt Disney puisque dans sa dernière émission, qui s’arrête sous la pression des médias, Farfour (de Far, souris en arabe), se trouve assassiné par un officiel Israélien parce qu’il refusait de vendre une terre qui lui appartenait. Du coup, Farfour passe à la postérité comme martyr et continuera à véhiculer la haine, à promouvoir le terrorisme et les valeurs du martyr chez d’innocents enfants qui ne retiendront qu’une chose : un Israélien a assassiné leur Mickey Mouse.
Aucun lien avec Mickey Mouse mais Fouad Siniora était en Arabie Saoudite pour rendre hommage à la diplomatie de la Djellaba pour ses efforts afin de sortir le Liban de sa crise. Il a profité de cette visite pour réitérer ses espoirs de voir des relations "fraternelles" se nouer entre Beyrouth et Damas, des relations d’amitiés et de confiance comme il doit en exister entre deux voisins ! Dans un grand moment d’égarement "fraternel", Siniora a oublié qu’Israël était son voisin et que Tzipi Livni ne tardera pas a sonner a sa porte pour demander du sel.
Alors que SFR casse à coup de marteau le monsieur-qui-dit-de-telle-heure-à-telle-heure, son homologue du gouvernement Koweitien continue à veiller au bien être de ces concitoyennes pour les préserver de la débauche et du mode de vie occidental, en interdisant aux femmes Koweitiennes de travailler de 20h jusqu’à 8 heures. Belle initiative qui limitera sans doute l’effet de serre sous les Burka à Koweït City, à défaut d’une décision qui interdira les idées de merde sous les turbans.
Restons dans la rubrique idées de merde pour rendre hommage au martyr "Farfour", cette espèce de clone de Mickey Mouse qui anime les enfantines sur la Tv du Hamas et dont l’esprit est loin de l’univers de Walt Disney puisque dans sa dernière émission, qui s’arrête sous la pression des médias, Farfour (de Far, souris en arabe), se trouve assassiné par un officiel Israélien parce qu’il refusait de vendre une terre qui lui appartenait. Du coup, Farfour passe à la postérité comme martyr et continuera à véhiculer la haine, à promouvoir le terrorisme et les valeurs du martyr chez d’innocents enfants qui ne retiendront qu’une chose : un Israélien a assassiné leur Mickey Mouse.
Aucun lien avec Mickey Mouse mais Fouad Siniora était en Arabie Saoudite pour rendre hommage à la diplomatie de la Djellaba pour ses efforts afin de sortir le Liban de sa crise. Il a profité de cette visite pour réitérer ses espoirs de voir des relations "fraternelles" se nouer entre Beyrouth et Damas, des relations d’amitiés et de confiance comme il doit en exister entre deux voisins ! Dans un grand moment d’égarement "fraternel", Siniora a oublié qu’Israël était son voisin et que Tzipi Livni ne tardera pas a sonner a sa porte pour demander du sel.
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